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Classique Edgar-Théorêt

Montréal, le 26 août 2015 - Plus de 200 golfeurs et convives ont répondu présent pour cette édition spéciale du tournoi de golf annuel du Musée Panthéon des sports du Québec.

Cette édition était très significative pour le Musée du Panthéon des sports du Québec, car cette activité de financement était très chère au cœur d’un grand homme qui a été au service du Panthéon depuis ses tous débuts. Nous parlons bien sûr de notre ami Edgar Théorêt.

Le 9 janvier dernier, le monde du sport a perdu l'un de ses bâtisseurs les plus dynamiques. Sa fructueuse carrière a été maintes fois reconnue par ses pairs et c'est avec regret que nous avons vu partir un homme de cette valeur.

Son implication dans le domaine de la natation a permis un essor considérable de la discipline qu'il a contribué à structurer en créant notamment l'Association des entraîneurs de natation du Québec.

Cofondateur du Panthéon des sports du Québec en 1990, il a plus d’une fois mérité son intronisation au sein de cet organisme en 2005.

Au fil des ans, Edgar a participé à plus de 199 intronisations issues de différents sports et secteurs d’activités qui sont au cœur de la maxime du Panthéon : « Pour que vive notre histoire sportive ».

Il fut également admis au sein du Temple de la renommée de Natation Canada et du Temple de la renommée du Club de la médaille d'Or.
 
Échos de la Classique Edgar-Théorêt

Il était primordial d’honorer la mémoire de ce grand bâtisseur, ce rêveur, cofondateur du Panthéon des sports du Québec et de plus, un passionné de golf.

C’est avec fierté et émotion que le Musée du Panthéon des sports Québec annonçait officiellement mardi dernier, qu’il dédiait, à perpétuité, l’appellation de son tournoi de golf annuel, à la mémoire d’Edgar Théorêt

Pour Jacques Baril, la Classique Edgar-Théorêt doit être un moment de célébration de vie de ce qu’aura été Edgar au cœur du Panthéon et au cœur de chacune des personnes qu’il aura côtoyé durant sa longue carrière.

L’ultime hommage qu’on peut rendre à cet homme, c’est de poursuivre son œuvre. Edgar y a investi trop de lui-même pour que son départ soit la fin de son rêve de doter le Québec d’un Musée des sports.


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